La réflexion sur l'évolution des pratiques aux niveaux social, économique et politique repositionnerait l'étude des usages et permettrait de saisir les comportements microsociaux et les tendances macrosociales (Millerand, 1998, p. 7). Dans son texte « Usages des NTIC : les approches de la diffusion, de l’innovation et de l’appropriation (1re partie) », Millerand expose les intentions des chercheuses et des chercheurs en Sociologie des usages, à cette époque, d'allier les analyses des micro et des macro contextes afin de mener des recherches qui rendent compte de la complexité des usages des technologies de l'information et de la communication.