Comment casser ce paradoxe qui fait que, depuis le milieu du XXe siècle, nos villes ne se développent généralement qu'à travers de ternes banlieues modelées par des règles d'urbanisme qui empêchent le renouvellement des voluptés architecturales de nos citées anciennes, de nos villes moyennes — dont les formes sont diversifiées —, qui peuvent être des noyaux de villes-archipels d'urbanisation douce, agréablement adaptable aux besoins de demain?