Tout est là, mais il n'y a presque rien : une forme plus ou moins familière et cet aplat qui invite au silence. On devine le calcul, on découvre la manière.
Ensuite, on ne fait que s'interroger. Les oeuvres de Marange ont ceci de particulier qu'une fois le regard happé, un sentiment d'incertitude nous envahit. Comme lorsque l'on oublie, comme lorsque l'on perd pied.